Journée mondiale de l’obésité
Etre obèse ou en surpoids en plus d’être parfois signe d’une maladie a souvent des conséquences psychologiques sur les jeunes. Victimes de discrimination et de harcèlement de la part de leurs pairs. Voici le témoignage de deux jeunes réglos qui n’ont pas échappé à la règle.
« Je suis Cathérine. Quand j’étais en classe de 3ème, j’étais la mal aimée de la classe parce que j'étais obèse. Je recevais des remarques péjoratives telles que « masse de graisse, Mama kilo etc. » Tous ces qualificatifs m’ont fait perdre confiance en moi. Après cela, je me suis lancée dans les régimes alimentaires pour perdre rapidement le poids. Mon objectif était de ressembler à ma grande sœur. Aujourd’hui, je ne suis plus obèse au fond de moi j’ai toujours cette faible estime de ma personne. »
« Je me nomme Marcel. J’ai 21 ans. J’ai toujours été fort de corpulence depuis ma tendre enfance et je me suis habitué à cela. J’ai toujours eu des amis qui avec des tailles très fines. J’avoue que cela me dérangeait car, je me demandais si je pourrai plaire à un garçon » ça m’embêtait toutes ces remarques négatives sur mon poids. J’ai même changé d’école mais le scénario était pareil. Je me suis résolue à m’éloigner de cette sphère et je me suis mariée. Malgré mes formes très généreuses, mon mari m’aime ainsi. »
L’obésité est une maladie qui se manifeste à travers un indice de masse corporel supérieur à 28. Les personnes atteintes sont souvent sujettes à des discriminations qui dégradent leur état mental et les poussent à des extrêmes parfois irréversibles. Il existe une distinction entre une personne en surpoids et une personne obèse au niveau de l’indice de masse corporelle. Ce dernier détermine le poids d’une personne x en fonction de sa taille. De même, il souligne qu’une personne mince n’est pas toujours en bonne santé car son indice de masse corporelle peut être inférieur à la normale 18. Le plus important est de contrôler son indice de masse corporelle pour être dans l’intervalle du bon poids qui garantit une bonne santé.
Proposé par Rachel BELEK avec appuis de BILL ATINE médecin analyste hôpital de la Caisse