Influenceuses mais pas ‘’sextopeuses’’ !

Goûter aux délices de la popularité, plusieurs en rêvent. Mais le chemin pour y parvenir réserve plein de surprises. Soit facile mais salissant ou difficile mais honorable. Dans cet article, ton site web te présente quelques influenceuses du 237 dont la popularité n'est pas le fruit de l’exhibitionnisme.

Les bonnes mœurs ont foutu le camp, et les sextapes gagnent du terrain dans l'univers du numérique. Au lieu d'utiliser les réseaux sociaux à des fins utiles, des jeunes exposent leurs corps pour avoir le max d’abonnés et devenir des influenceurs. Ils prennent pour modèles les grandes stars des tapis rouges comme Kim Kardashian, mais finissent par avoir des regrets. Selon la présentatrice télé et influenceuse Viviane Andréa, « Développer sa passion et la partager sur la toile est très bénéfique car, cela inspire du respect et de l’admiration de ses fans ». Au 237, plusieurs jeunes femmes suivent ce principe.

Elles sont mannequins comme Valérie Ayena, ou la jeune « femme fatale » Taylor. Avec 721000 followers sur Instagram, elle est l’image de marque de plusieurs restaurants de la ville de Yaoundé comme Terrific coffee. La bloggeuse Miss « jemenfou » illumine ses abonnés par des clichés uniques des paysages pittoresques du triangle national. Avec 66000 abonnées sur Instagram, Barbie Larissa Aquiladonne des conseils beauté efficaces afin d'aider sa communauté à adopter des gestes sains. « Ta pilule sucrée » de son vrai nom Maëva Medong avec une communauté de 350 000 followers collabore avec plusieurs structures telles que tchop et yamo et a signé avec Lougar face Agency.  La dernière dans notre liste c’est Natacha Nsama influenceurs de mode, elle travaille avec plusieurs marques de luxe et fait partie intégrante de la jet set camerounaise. Elle tient un blog nommé fashion of Tasha’’où elle partage sa passion pour la mode, le développement personnelet compte 83.200 d’abonnés.

Comme tu peux le constater, ces influenceuses, n'ont pas fait de l’exhibitionnisme pour être suivies. La motivation à développer et innover dans leurs passions et la maîtrise du langage des réseaux sociaux les ont propulsées. Si tu as une passion, travaille – là et tu verras le résultat !

Proposé Rachel Beleck avec l'appui de Viviane Andréa Bessala, influenceuse et présentatrice télé sur Vision4



Rachel BELEK

Étudiante en L2 Droit privé à l’université de Yaoundé II Soa et reporter pigiste dans le magazine 100% jeune