Masturbation : me faire plaisir peut conduire au pire…

Un plaisir au goût amer, c’est ce que représente la masturbation. Cette pratique plus ou moins complexe reste dangereuse pour la jeune fille et expose ses adeptes à des conséquences aussi bien physiques que psychologiques.

La masturbation chez la jeune fille est la procuration du plaisir voir de l'orgasme en stimulant les parties génitales soi-même ou par un tiers avec des doigts ou tout autre objet pouvant créer les sensations recherchées. Souvent dû quelques fois à une faible estime de soi, à la peur de l’échec d’un rapport sexuel, à la timidité et aussi à l'absence de courage, les personnes sujettes sont souvent en proie à une spirale d’émotions et de sensations qui conduisentà des désagréments physiques importants mais aussi à la dépendance.

Dr EbudeMarie est très stricte lorsqu’elle dit : "Rien ne doit être introduit dans le vagin en dehors du pénis et pas de façon fréquente. Car le vagin est l'un des organes du corps qui possède son propre biotope, microbes protecteurs constituant la flore vaginale de la femme. Les doigts, même s’ils sont propres, et tout autre objet introduit, déstabilise l’équilibre de la flore vaginale. Ces derniers donnent lieu à des infections qui peuvent se manifester par des pertes vaginales nauséabondes et jaunâtres signe d’une infection mais aussi, des rougeurs de la vulve et/oudu vagin associé aux démangeaisons".

Psychologiquement, la masturbation crée une dépendance aussi bien pour le garçon que pour la fille. Bien que les études du Dr Caufeynaure connaissent l’utilité de la masturbation dans l’armée, il n'en demeure pas moins que les personnes sujettes ont pour certains des conflits de culpabilité de l’acte posée et de croyances religieuses. Pour sortir de cet engrenage, il faut se faire suivre par un psy et aussi prendre rendez-vous chez un gynécologue en cas d'infection.

Proposer par Rachel Belek avec l’appui du Dr EBUDE Marie, Gynécologue à l’hôpital de Djoungolo-Olembé