Comment venir à bout des auréoles et de la mauvaise odeur des aisselles ?

Que l’on soit un mec ou une coco, sentir des aisselles est gênant pour nous-mêmes et pour notre entourage. Si les auréoles (traces de transpiration) et l’odeur de tes aisselles te mettent souvent mal à l’aise, cet article te donne des astuces pour en finir avec ces désagréments.

« L’odeur sous nos aisselles n’est pas causée par la transpiration », affirme l’esthéticienne Nadia Bangue. Selon elle, transpirer, c’est normal. À ceux qui transpirent beaucoup, Nadia recommande d’éviter de porter des vêtements près du corps et surtout des vêtements de couleurs claires (bleu ciel, gris clair, etc.). Ils laissent facilement transparaitre les auréoles.

Pour en finir avec les mauvaises odeurs des aisselles, il existe de nombreuses astuces :

Citron + Bicarbonate de soude

Mélange une petite quantité de jus de citron dans du bicarbonate et applique sous tes aisselles trente minutes maximum avant le bain. Tu peux aussi utiliser le citron seul. C’est simple. Il suffit de placer une tranche de citron sous tes aisselles pendant 15 minutes au moins, puis se rincer.

 Citron + vinaigre de cidre

Dans un vaporisateur mélange un peu de vinaigre de cidre, du jus d’un citron et de l’eau. Agite le mélange avant de l’appliquer sur tes aisselles. Fais-le au plus deux fois par semaine de peur d’assécher ta peau.

 La pierre d’alun

C’est un déodorant naturel. Elle contient des propriétés antiseptiques qui te permettront d’éliminer les bactéries responsables de la mauvaise odeur due à la transpiration. Frotte un morceau de ce minéral contre tes aisselles pendant quelques minutes.

Aussi, il est très important d’avoir une bonne hygiène :

  • Se laver au moins une fois par jour ;
  • S’épiler constamment les aisselles, car les poils retiennent facilement les bactéries responsables des mauvaises odeurs ;
  • Changer régulièrement tes vêtements car, un vêtement sale porté à répétition conserve des bactéries ;
  • Bien laver tes vêtements et boire beaucoup d’eau.

 

Par Inès Papgouo, avec l’appui de Nadia Bangue, esthéticienne



Inès PAPGOUO

Freelance Journalist and Communication passionate