26 juin : Tous contre le tabagisme, les drogues et la toxicomanie !
« Je ne fume qu’une dizaine de cigarettes/jour. Je ne pense pas être accro au tabac », s’exclame Félix, 23 ans, une cigarette allumée dans la main. Comme lui, beaucoup de jeunes se retrouvent esclaves de la cigarette et autres formes de drogues sans le savoir. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) distingue 2 types de tabagismes tout aussi dangereux l’un que l’autre : actif et passif. Le 1er concerne l’intoxication dont sont victimes ceux qui fument tandis que le tabagisme passif est celui subit par l’entourage direct du fumeur. Toujours d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, le tabagisme tue près de 6 millions de personnes/années.
Pour ce qui est de la toxicomanie, il s’agit d’une dépendance physique et psychologique d’une ou plusieurs substances toxiques sans justification thérapeutique. Ce qu’on peut relever dans les deux cas, c’est l’aspect addictif, le fait de ne pouvoir s’en passer. Qu’on la qualifie de dure, douce, récréative, licite ou illicite, la drogue a un effet néfaste pour ceux qui en consomment ainsi que leur entourage. Elle entraine des maladies cardiovasculaires et respiratoires, le cancer du poumon et peut causer la mort subite du nourrisson. Vivement donc le 26 juin 2013 afin que tout le monde se lève comme un seul homme pour contrer ces graves fléaux et éviter de voir partir d’autres vies en fumée et dans des pots de colle. En effet, plusieurs drogues sont consommées par les jeunes du chanvre indien ou le cannabis ou encore plus visible dans certain rond-point de nos cités, l’inhalation de vapeur de colle forte. Les adolescents et les jeunes adultes sont particulièrement exposés à l'abus de drogues. La prévalence de l'abus de drogues dans ce groupe est plus de deux fois supérieure à ce qu'elle est dans l'ensemble de la population. La pression exercée par le groupe, qui pousse à expérimenter les drogues illicites, est parfois forte, tandis que l'estime de soi est souvent faible. Par ailleurs, ceux qui se droguent sont en général soit mal informés, soit peu au fait des risques sanitaires encourus. Le chantier est vaste. Il est donc important de sensibiliser et de faire passer le message que la drogue n’est pas nécessairement « reglo ».