Jeunes filles et pratiques sexuelles à risque

"Les faits se déroulent au quartier Nsimeyong. Les habitants sont réveillés au petit matin par une jeune dame de 24 ans environs, jolie mais dont l'état physique laisse à désirer. Elle est complètement dévêtue et est allée chercher refuge à la fenêtre d'un inconnu qui dormait avec sa compagne. Cette dernière s'en plaint à son homme, convaincue que c'est sa "petite". Le monsieur a beau clamer son innocence, mais sa compagne ne le croit guère. Il est donc obligé d'alerter d'autres voisins. Ceux-ci, surpris par l'intruse, ne comprennent pas comment une telle jeune et belle fille peut se retrouver en tenue d’Èvedans ce quartier.

En échangeant avec cette dernière, elle semble avoir tous ses sens, mais a visiblement perdu la mémoire. La seule chose dont elle se souvient, c'est qu'elle a été embraquée par une bande de quatre messieurs, que la soirée était arrosée, et qu'elle s'est réveillée là, dépouillée de ses vêtements, couchée à même le sol, dans ce quartier où elle ne connaît personne. La jeune fille dit habiter le quartier Essos et n'avoir pour seul repère que le Carrefour Jouvence, lieu où visiblement, l'irréparable a commencé à se produire." (D’après une histoire sur la page de Maitre Afra sur Facebook). A la suite de ce récit, de nombreuses questions nous viennent directement à l’esprit : pourquoi une jeune fille irait-elle consommer de l'alcool avec quatreinconnus dans un bar ? Comment a-t-elle pu être droguée à son insu ? A-t-elle été violée ? Malheureusement, ceci n'est ni la première, ni la dernière histoire de ce genre que nous suivons désormais dans les grandes métropoles. Les jeunes filles se livrent de façon consentante ou non, à des comportements et pratiques sexuels à risque. Pourquoi le phénomèneprend-il autant d’ampleur ? Comment éviter de se retrouver dans des situations similaires ? Ton site a mené l'enquête et te donne les détails dans les différents articles



La rédaction

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